Le massif du Sancy compte une douzaine de cascades. Parmi celles ci, la Cascade de Vaucoux fait environ douze mètres de haut et est particulièrement belle. Visible toute l’année, certains l’escaladent même l’hiver lorsqu’elle est prise dans la glace. Une passerelle en bois enjambe le ruisseau et permet un très beau point de vue.
En amont de Sayat 2 affluents du Bédat, le ruisseau de l’Adrienne et le Courdoulet (que l’on trouve aussi orthographié Cordoulet), descendent des gorges étroites au milieu des châtaigniers et des champignons pour ensuite se rejoindre dans le bourg de Sayat, rue du docteur Jay.
Non loin de Saint Nectaire, la Couze Chambon traverse une coulée de lave qui crée une cascade haute de 7 mètres : la Cascade de Saillant. Très appréciée grâce à son débit important et à son accés facile en temps normal, celle-ci offrait un visage différent lors de la vague de froid de 2012. Elle était en effet quasiment totalement prise dans la glace.
Comme suite à l’article consacré au lac du Guéry, voici un reportage sur le ruisseau des Mortes, cours d’eau qui alimente le lac et la cascade de ce dernier. Cet article sera de nouveau l’occasion de vous présenter des photos des magnifiques environs du lac du Guéry.
Après « Cent vingt cascades dans le Sancy et autour du Sancy », une publication sortie en 2010, devenue une référence dans le domaine, Denis CHASSAIN et Pierre KALMAR viennent de publier un ouvrage intitulé « Quatre cents cascades dans le Puy-de-Dôme ».
Le mot Couze est un régionalisme, une création déhydronymique récente abordée dans le Dictionnaire des Régionalismes de France (le DRF) de Pierre Rézeau (sous la plume de Jean Pierre CHAMBON) provenant du nom propre COSA, d’étymologie précéltique.
Dans le PNR du Livradois-Forez, l’ancien ruisseau des Murolles (atlas de Maury, 1845) a disparu pour laisser la place à celui de Madet (nom d’un groupe de maisons et de moulins). La vallée commence à partir de l’étang de la Gravière, commune de Fayet-le-Château. On la suit par des chemins facilement praticables, malgré quelques montées assez rudes.
Le lac de Saint Alyre se trouve dans le Cézalier sur la commune de St Alyre-es-Montagne à environ 1200 mètres d’altitude. Le lac de Saint-Alyre forme une tourbière avec le lac d’En-Bas de la Godivelle. Le lac est installé dans un cuvette issue d’un surcreusement glaciaire au pied de la montagne de Chamaroux et du Testou.
L’eau est très présente dans les Combrailles. On y trouve de nombreuses rivières comme la Sioule ou la Bouble, des cascades et des étendus d’eau comme le plan d’eau de Saint Eloy les Mines ou Le plan d’eau de la Prade. Ce dernier se trouve à Servant, petite commune du nord des Combrailles d’un demi-millier d’âmes.
La Jordanne traverse Aurillac du nord-est vers le sud-ouest. Elle y alimente un lavoir et un canal ayant servi aux tanneurs de la ville. Après avoir traversé le vieil Aurillac, elle entre dans les quartiers sud de la ville plus modernes. La Jordanne longe la plaine des sports de La Ponétie (en rive gauche) pour finir son chemin dans la Cère sur la commune d’Arpajon-sur-Cère, à 586 mètres d’altitude et après le barrage Baradèl.
